Et au détour des ruelles proprettes du 16ème arrondissement, le modernisme.
Rue Mallet-Stevens
Entre 1926 et 1934, l’architecte et designer Robert Mallet-Stevens
construit 5 hôtels particuliers aux lignes modernistes surplombés de terrasses dans cette impasse qui porte aujourd’hui son nom.
Au n°12, se trouvait l’atelier et logement de Robert Mallet-Stevens et de sa famille.
Au n°10, caché derrière une grande verrière, l’atelier et logement des frères Jan et Joel Martel, sculpteurs.
Le duplex du 1er étage est aujourd’hui occupé par la galerie 54.
Au n°8, la pianiste Reifenberg.
Au n°7, le banquier Daniel Dreyfus à qui appartenaient tous les terrains avant construction.
Au n°3-5, se trouvait l’hôtel particulier de Hélène Allatini, cinéaste. Il a été complètement défiguré dans les années 50.
Et au fond de la cour, l’ancienne demeure du gardien a été transformée en une maison hybride aux inspirations modernistes dont deux cactus en stuc habillent la porte d’entrée.
75 rue de l’assomption
Une mosaïque aux miroirs d’un bleu comme je les aime et dont je n’ai pas le nom des auteurs.
25 avenue Paul Doumer
Un hall d’immeuble décoré de colonnades ovoïdales par L’Oeuf Centre d’Etudes, un collectif d’architectes et de décorateurs qui habillèrent les halls d’immeubles et lieux publics de mosaïques dans les années 1960.