Ici a toujours été le réceptacle de ce qui ne va pas toujours. Et pour invoquer aujourd’hui tout le réconfort dont j’ai besoin, je suis bien forcée de constater que ce qui ne va pas toujours, fini toujours par aller mieux, par être recouvert de nouvelles images et de nouvelles pensées, par s’archiver quelque part dans cette mémoire virtuelle. Dans cette mémoire corporelle. Cicatricielle. Car ainsi va la vie.
Alors, avant le grand chamboulement, bon baisers de la vie d’avant.
On se retrouve dans le monde d’après, dans le monde d’ailleurs.