Tout est parti d’un documentaire sur l’oeuvre de César Manrique, artiste fantasque, originaire d’une petite île volcanique de l’archipel des Canaries sur laquelle il a laissé libre court à son imagination. Le choc esthétique est complet : murs blancs immaculés, paysages de lave d’un noir intense, lagunes azur, le tout entouré d’une nature aride et sauvage.
Lanzarote c’est ça, un gros cailloux volcanique à l’ambiance du bout du monde, enfin si l’ont sait choisir son point de chute et son itinéraire. La côte nord ouest de l’île, tournée vers la petite île de la Graciosa et coincée par les falaises de la Famara, est brute et hostile, continuellement balayée par de vents forts et léchée par une mer déchainée. C’est là qu’on a échoué en plein novembre. Plus embêtés que bercés par la furie de la mer ( ça fait du bruit une mer déchainée la nuit, beaucoup de bruit ). Un automne à Lanzarote, dans un hameau face à la mer, à arpenter des paysages lunaires faits de cailloux de toutes les couleurs et d’une végétation surprenante.
Lanzarote, partie 1 :
Le nord de l’île.
Manrique à épines
Jardin de Cactus
Ambiance bout du monde et plastique échoué
Le village d’Orzola
et la Playa de la Canteria
Manrique fantasque et crabes blancs endémiques
Jameos Del Agua
Scenic road
LZ-202
La vallée aux mille palmiers
Haria
et la Maison de César Manrique
Au bord de la route, d’étranges formations rocheuses
Ghost city